Mohadine Babouri

Par: Correspondant indépendant

Alors que la communauté internationale prétend renforcer la lutte contre le terrorisme et les crimes de guerre, un nom revient avec insistance : Mohadine Babouri. Derrière ce personnage controversé se cache un réseau aux ramifications sanglantes, lié à des milices islamistes et aux pires atrocités commises au Soudan et au Darfour. Pourtant, malgré des accusations graves et des éléments troublants, Babouri continue de circuler en France, sans être inquiété par la justice.

Des liens directs avec les groupes djihadistes soudanais

Selon plusieurs témoignages et documents sonores qui circulent, Mohadine Babouri soutient directement les groupes armés djihadistes opérant au Soudan, notamment la milice islamiste Al-Bara’ ibn Malik, tristement célèbre pour sa brutalité. Ses propres parents seraient eux-mêmes combattants dans ces rangs.

Cette milice, proche de Daech et de l’Iran, est accusée d’avoir massacré plus de 4000 personnes au Darfour et des sud soudanais, ciblant des civils uniquement à cause de leur couleur de peau. Les récits de survivants évoquent des atrocités insoutenables : égorgements, éventrations, et même des actes de barbarie allant jusqu’au cannibalisme.

Dans l’ombre des chefs djihadistes sanctionnés

Mohadine Babouri est décrit comme un homme de main de Djibril Ibrahim actuel ministre des finances du gouvernement de Burhan, ce dernier était sanctionné par les États-Unis pour ses activités terroristes. Ses réseaux lient également Babouri à l’ex-ministre soudanais Ali Karti, personnage central des financements occultes et des alliances avec des organisations terroristes internationales.

Dans un audio compromettant, Mohadine Babouri se vante d’avoir acheminé plus de 600 pick-up Toyota équipés pour la guerre, et même d’avoir transféré lui-même des missiles antichars Milan achetés en Europe. Des propos qui illustrent une implication directe dans l’armement et le renforcement des milices au Soudan.

Un discours raciste et manipulateur

Pire encore, Babouri revendique une stratégie cynique : manipuler des communautés noires pour les pousser à tuer des Arabes dans le conflit soudanais. Ce type de discours, profondément raciste et diviseur, alimente une logique de haine qui a déjà coûté des milliers de vies innocentes.

L’indifférence choquante des ONG et des autorités

La question se pose avec insistance : que font les grandes ONG de défense des droits humains comme Human Rights Watch, la FIDH ou Amnesty International ? Comment expliquer leur silence face à ces accusations de crimes de guerre, de complicité terroriste et de discours de haine ?

Plus troublant encore : Mohadine Babouri affirme opérer depuis la France. Faut-il rappeler que la France est censée être en première ligne de la lutte antiterroriste ? Qu’attendent les autorités pour enquêter, expulser ou traduire cet homme devant les juridictions compétentes ?

Un appel à la justice

Laisser de tels individus agir librement, alors que des milliers de familles au Darfour et au Soudan continuent de pleurer leurs morts, est une insulte à la mémoire des victimes. Il est urgent que les juridictions internationales et les États concernés assument leurs responsabilités.

Le temps du silence est terminé : Mohadine Babouri doit répondre de ses actes.

IMPORTANT: Le lien vers l'audio révélateur

Mohadine Babouri, au Centre

 

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